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... ET FIN.
[Que mes deux inscrites au PIF se rassurent, les petites surprises commencent à prendre vie et je ne manquerai pas à ma promesse malgré l'arrêt de mon blog]
... ET FIN.
[Que mes deux inscrites au PIF se rassurent, les petites surprises commencent à prendre vie et je ne manquerai pas à ma promesse malgré l'arrêt de mon blog]
Depuis le début de la semaine, la bande-son du quotidien de Miss Hellzapoppin est signée Moriarty [Merci Mr. HellZ!!]. Déjà conquise par le titre phare de l'album - Jimmy - et son très beau clip, Miss HellZ découvre un peu plus chaque jour l'univers si particulier des Moriarty, en se laissant doucement envoûter par la voix cristalline de Rosemary Standley. Extrait.
Une série de luminaires inspirés de la tulipe ottomane. Un fauteuil à l'image de la luge de leur enfance. La bergère de grand-mère revisitée. Tradition ottomane... souvenirs d'enfance... c'est là que le duo de designers de l'agence turque Autoban puise son inspiration. Pour créer des oeuvres singulières aux formes épurées. Alliant courbes et droites... design et artisanat... tradition et modernité. Un duo résolument inspiré!
Bibliothèque municipale. Rayon B.D. Aucune sélection particulière aujourd'hui. Miss Hellzapoppin laisse courir ses mains de B.D. en B.D., faisant confiance au hasard. Tiens, Ice Cream d'Anthony Pastor. La couverture du livre attire spontanément l'oeil de Miss HellZ, avec une impression de déjà-vu [... ah oui, ça lui revient : un article élogieux sur le net, pour sa sortie en... 2006!]. Miss HellZ emprunte : coup de coeur! En tournant la dernière page du livre, Miss HellZ se dit que parfois le hasard fait [vraiment!] bien les choses!
A paraître au printemps : Hotel Koral [Et cette fois, le hasard n'aura plus sa place!]
"Saul Leiter a saisi un entre-deux-mondes délicat à mille lieux de la jungle urbaine qui lui servait de sujet. Un monde flottant, embué, dans une succession infinie de mises en abîmes, tendant volontiers vers l’expressionisme abstrait de ses peintures. Ses images métamorphosent la réalité pour créer un univers à la fois poétique, onirique et apaisant, sur lequel plane la douceur de la mélancolie." [Extrait du dossier de presse réalisé par la Fondation Henri Cartier-Bresson]
El, New York, 1954
En hommage à de - désormais très célèbres - petites Bigoudènes, les Hellzapoppin exécutent à leur tour la danse de la crêpe : lancer de crêpes vertigineux [quelle dextérité! Enfin, pas toujours! ;-)], crêpes moelleuses à souhait [made by Mr. Hellz], petites bolées de cidre, petites douceurs bretonnes [crème de Salidou] et ... [cherchez l'erreur!] deux pots de lemon curd préparée par Miss à partir de petits citrons bergamote [un régal!].
Spéciale dédicace à Mr. Hellzapoppin qui est passé maître dans l'art de fabriquer des fend-la-bise, pour le plus grand bonheur de Florian, 8 ans, neveu en titre.
Sébastien [2006]
Fin d'après-midi, chauffée par les derniers rayons du soleil, accompagnée d'une tasse de kinkéliba et bercée par la voix à la fois délicate et colorée de la magnifique Rokia Traoré [sur fond de guitare, n'goni, balafon et percussions]. Petit extrait de son album Mouneïssa...
"Au-delà de l'intrigue impeccablement menée, c'est la plongée dans les frustrations et les rêves de chacun, la misère matérielle et morale, la famille et ses fêlures, qui en fait la rareté ... Echappant au manichéisme réducteur, Lehane trouve les mots pour dire l'indicible." Radio France, à propos de Mystic River, Dennis Lehane. [Et pour prolonger le plaisir, le film adapté par Clint Eastwood et servi par de grands acteurs]
Extrait de la bande-son d'Angelina et Marina : Que sera, sera (Whatever will be, will be), repris par Pink Martini.
"Angela et Marina témoigne d’une lutte passionnée et pourtant dérisoire entre l’art et la vie, entre le corps et l’esprit. [...] J’ai le goût de mettre en scène des histoires qui empruntent les pistes menant de notre intimité à notre humanité, de la brutalité de notre quotidien à sa poésie.", Valérie Grail, metteur en scène d'Angela et Marina, pièce adaptée de La Virevolte de Nancy Huston. [Magnifique!]
Samedi matin. Pas de grasse matinée pour Miss Hellzapoppin. Direction le laboratoire d'analyses [même plus peur des piqûres!]. Infirmière de bonne humeur : ça papote, ça rigole [au sujet d'une éventuelle allergie de Miss au bouleau/ot!]! Après l'effort, le réconfort : arrêt [obligatoire] à la boulangerie. Chemin du retour. Brise tiède et légère, teintée de l'odeur des viennoiseries, lumière dorée matinale, rue déserte et calme... Le quartier se réveille... Ralentir le pas et profiter de ces quelques instants... De retour. L'odeur du café de M. HellZ flotte dans l'air, le thé de Miss l'attend, patiemment. Inspirée par cette journée qui commence bien, Miss HellZ fredonne...
Chez les Hellzapoppin, le dimanche, on déroge rarement à un petit rituel instauré depuis quelques temps déjà : la préparation du cake du lundi. Qui agrémente le premier petit-déjeuner de la semaine. Ce matin, aux côtés du bol de café de Mr. et du mug de thé de Miss, un cake au citron et aux graines de pavot [recette tirée de Quiches, cakes et compagnie d'Ilona Chovancova, Editions Marabout]. Un régal! On en oublierait - presque - que le week-end est déjà fini...
Dix-huit chapitres ; dix-huit repas ; et autant d'invitations à découvrir le Japon [A commencer par le livre lui-même qui se lit de droite à gauche] et à savourer les menus plaisirs de la vie. A l'instar de cette pensée du personnage principal qui, en ce début d'année, sonne comme une bonne résolution. [La scène se passe dans un restaurant]. "Ici, c'est un business complètement différent du mien. Ce que les clients viennent acheter, c'est la qualité du temps qui passe...". Jirô Taniguchi - Masayuki Kusumi, Le Gourmet solitaire, édité chez Casterman.